Reprendre son pouvoir personnel implique nécessairement de découvrir et reconnaitre sa puissance créatrice.

Par puissance créatrice, j’entends cette capacité que nous avons toutes à donner la vie.

Donner la vie en procréant bien évidemment mais pas seulement, il s’agit, de manière plus large, de donner vie à nos projets, nos rêves, à ce qui ravit notre cœur.

Si nos projets germent dans notre cœur, se structurent dans notre tête, ils prennent forme dans la matière grâce à notre matrice créatrice dans notre utérus que j’appelle le chaudron magique !

C’est un véritable chaudron alchimique qui transforme et donne vie.

Lors de ce cercle de femmes, nous irons nous relier à notre utérus et activer notre chaudron magique afin de redevenir consciemment le créateur de notre vie.

Pour cela nous utiliserons diverses pratiques : introspection, danse, méditation, massage, créativité, rituel…

Ce cercle est une invitation à reprendre conscience de notre force créatrice et à nous la réapproprier !

« J’ai plein d’idées, de désirs, de projets mais je n’arrive pas à les matérialiser, à passer à l’action !!!  »

Cette phrase résonne pour toi ?

Je t’invite à nous rejoindre dimanche 10 mars à librairie L’Or du Temps pour mon prochain cercle de femmes consacré à soutenir le passage à l’action.

 

Mais au fait pourquoi le passage à l’action est-il parfois si difficile ?

D’abord parce que, la plupart du temps, il part d’un espace où je me sens obligé (avec ma tête) de poser une action sans pour autant ressentir le mouvement s’animer en moi (dans mon corps).

Je force donc le mouvement et le passage à l’action au lieu d’attendre de ressentir le désir de passer à l’action.

Ce désir s’anime lorsque je sais où je veux aller et que cela me donne de la joie. Dans ce cas, j’agis spontanément avec fluidité, allégresse et certitude.

 

Ensuite, le passage à l’action peut réveiller des peurs (du jugement, du rejet, de ne pas être à la hauteur, de perdre quelque chose…), des schémas de comparaison, des doutes … bref de l’insécurité !

Il est important d’arriver à identifier les mécanismes de protection qui freinent mon passage à l’action car derrière chacun d’eux il y a une blessure.

Ayant déjà ressenti une douleur associée à un passage à l’action similaire, le corps ne souhaite pas réitérer l’expérience et fait en sorte de me dissuader. Il s’agit donc là d’un acte d’amour et non de sabotage.

Une fois que j’ai conscience de ces mécanismes, je peux agir dessus en allant dialoguer avec mes parts blessées, en les accueillant et en leur amenant plus de sécurité.

Lorsque je me sens dépassée par ces freins et que je suis immobilisée, ce n’est pas la peine d’insister car je rentre alors dans un cercle vicieux qui vient de plus en plus contracter mon corps.

Au cours de notre vie sur Terre, nous avons parfois l’impression de ne pas avoir le choix et d’être obligé de subir une situation inconfortable voire même douloureuse.

Si la situation en elle-même est difficile à vivre, le fait de croire que nous n’avons pas le choix et de se sentir obligé est souvent ce qui est le plus insupportable.

Identifier les croyances, obligations et devoirs qui nous font croire que nous n’avons pas le choix est un premier pas vers la reprise de son pouvoir personnel.

Il est aussi important de conscientiser que nous avons toujours des avantages à rester dans une situation que nous déplorons par ailleurs. Il est là aussi important de pouvoir les nommer en toute transparence.

Ainsi nous nous apercevrons que nous avons le choix même si ce choix implique de dépasser certaines de nos peurs.

Rester dans une situation non épanouissante en ayant conscience de ce qui se joue en moi est un choix.

Avoir le choix implique d’être conscient de ce qui est à l’œuvre à l’intérieur de moi.

Parfois nous pensons avoir choisi alors qu’en réalité nous avons réagi de manière inconsciente à une blessure du passé.

Quelque fois le choix peut même devenir une contrainte quand nous pensons que nous devons faire un choix.

Faire un choix peut-être d’une extrême complexité et finir par un non-choix.

Alors pour reprendre son pouvoir personnel et espérer passer à l’action, il est indispensable de se positionner sans douter et donc de DECIDER !

La relation à notre corps est souvent difficile.

Tantôt il est la dernière de nos préoccupations car nous avons bien d’autres choses à penser et surtout à faire avec nos rythmes de vie effrénés. Parfois même nous nous coupons de nos sensations pour ne pas le ressentir et l’oublier.

Tantôt il nous obsède car nous le voudrions parfait esthétiquement, d’une grande souplesse et en pleine santé. Alors nous essayons sans cesse de le transformer comme nous aimerions qu’il soit.

Nous avons souvent milles choses à lui reprocher et il est rare que nous le remercions ni même l’écoutions.

Et pourtant, sans notre corps nous ne serions pas vivantes sur cette Terre !

Il est d’une grande importance et il mérite d’être considéré pour ce qu’il est et non pour ce qu’il devrait être.

Ce cercle de femmes est l’occasion de créer un espace pour que chaque femme puisse véritablement venir à la rencontre de son corps.

Un espace cocooning, rempli de douceur, de bienveillance, de sororité, de sensualité et d’écoute.

Le temps de prendre le temps… de respirer, de ressentir, de vibrer, de bouger, de toucher, d’aimer, de s’émerveiller, de s’exalter, de remercier, d’honorer…

Une journée pour changer le regard que nous portons sur notre corps, pour apprendre à communiquer avec lui et pour le remettre au centre de notre vie.

La femme souveraine a repris son pouvoir en main.

Elle est sortie du triangle de Kapman victime, bourreau, sauveur et est responsable de sa vie.

La femme souveraine a arrêté d’accuser l’extérieur d’être fautif de tous ses maux, elle sait que tout ce qui arrive dans sa vie n’est que le miroir de ce qui se vit en elle.

A chaque épreuve, elle plonge dans ses profondeurs pour éclairer les zones d’elle restées encore dans l’obscurité.

La femme souveraine ne laisse personne décider pour elle, elle écoute son intuition et ose affirmer sa position même si elle dérange.

Elle a parfaitement intégré ses deux polarités féminine et masculine et avance dans la vie avec intuition et discernement.

La femme souveraine sait qu’elle est co-créatrice de sa vie, elle manifeste à elle ce qui est bon pour son être à partir de son cœur.

Elle peut parfois paraitre froide, distante ou sans cœur mais elle est franche et directe.

La femme souveraine est celle qui nous permet de prendre des décisions juste pour notre être, de s’affirmer, de poser nos limites et de manifester nos rêves.

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Le quotidien avec ses contraintes, ses obligations, son lot de stress et de pression en tout genre fait qu’au fil des années notre joie peut s’estomper pour laisser place à la tristesse, la frustration et l’agacement.

Lorsque nous parlons de joie, notre cerveau l’associe à l’enfant. Nous avons cette image d’un enfant joyeux qui rit et joue de manière insouciante.

La joie serait-elle donc une émotion davantage réservée aux enfants ?

Je ne le crois pas. Pour moi, la joie est la manifestation de notre âme. Plus nous lui laissons de la place, en ralentissant, en respirant et en étant présent à nous même, plus elle se fait sentir.

Je dirai même que la joie que nous ressentons nous indique que nous sommes sur le chemin qui fait vibrer notre âme et donc notre essentiel.

Chaque jour, chaque seconde, le champ infini des possibles s’ouvre à nous. Nous nous mettons souvent la pression pour faire le « bon » choix, prendre la « bonne » décision. Alors nous choisissons avec notre raison, nous pesons les avantages et les inconvénients de chaque possible et nous allons vers celui qui sera la plus raisonnable.

Mais le choix le plus raisonnable n’est peut-être pas celui qui nous met le plus en joie ! Celui qui nous fait rêver et vibrer. Ce chemin-là se manifeste d’ailleurs souvent sans que nous l’ayons prévu, anticipé par notre mental. Mais aurons-nous la confiance de suivre cet élan du cœur ?

Ce cercle de femmes est l’occasion pour chaque femme de revenir à elle-même et de se poser la question de ce qui la met en joie, la fait rêver et vibrer dans la vie.

Créer un espace en nous pour laisser la joie émerger et la ressentir dans notre corps, dans chacune de nos cellules.

L’intention de se cercle est de permettre à chaque femme de reconnecter à la joie pour qu’elle puisse ensuite la retrouver dans son quotidien.

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La femme médecine est cette femme sage et intuitive qui utilise ses arts subtils au service de l’évolution de l’humanité.

Qu’elle soit cartomancienne, astrologue, herboriste, doula, sage-femme, médium, énergéticienne, magnétiseuse, lithothérapeute, sexothérapeute, chanteuse, artiste ou autres … elle pratique son art avec amour et sagesse.

La femme médecine lit dans le cœur des Hommes et accompagne chaque être avec beaucoup de compassion et de justesse.

Elle permet la transmutation des blessures du corps, du cœur et de l’âme.

Parfois à trop donner elle peut s’oublier et se laisser prendre au rôle de sauveuse.

La femme magicienne, quant à elle, communique avec le monde des esprits et transmute les ombres en lumière.

Elle est une alchimiste éveilleuse de conscience. Elle permet aux êtres, grâce à un voyage intérieur de se libérer de leurs propres enfermement.

Dans ses ombres, la magicienne peut se montrer surpuissante, avoir une tendance à l’ingérence et à prendre la vie trop au sérieux jusqu’à se couper de sa joie de vivre.

La femme médecine et magicienne a conscience qu’elle œuvre dans un plus grand dessein que son intérêt personnel.

Elle rêve d’un monde nouveau où chaque être pourra être libre d’exercer et de déployer sa propre médecine dans l’intérêt de tous et du grand Tout.

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La femme sombre est celle qu’on ne veut pas voir, qu’on s’épuise à cacher car on juge que ce qu’elle est est mal.

Parfois, elle explose et prend toute la place. Lorsqu’elle agit, cela provoque souvent un sentiment de culpabilité ou de honte en nous. « Je n’aurais pas dû faire si ou faire ça… qu’est-ce que les autres vont penser de moi … ? »

La femme sombre que nous sommes vient nous bousculer dans la dualité bien/mal dans laquelle nous vivons.

Nous jugeons cette part comme étant mauvaise. Nous ne voulons pas d’elle, nous la rejetons et voulons la supprimer.

En faisant cela nous créons encore plus de noirceur par le rejet, la peur, le non amour…

Regarder cette part en face, la mettre en lumière, se reconnaitre en elle et voir toute sa beauté et sa puissance c’est faire ce chemin d’amour de soi à soi.

Aimer nos parts lumineuses est plutôt aisé mais dès lors qu’il s’agit de nos parts sombres cela devient beaucoup plus compliqué.

S’aimer vraiment signifie s’aimer dans son intégralité aussi bien dans sa lumière que dans son ombre.

Le chemin commence par rencontrer ces parts sombres en nous et reconnaitre qu’elles font partie de nous. Cela peut être une part hyper sexuelle, destructrice, violente, dominatrice, manipulatrice, abusive, intrusive, vampirique, profiteuse, jalouse…La liste est non exhaustive.

Toutes ces parts nous donnent une grande puissance qui nous permet notamment de rester debout face aux parts sombres des autres.

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Érotique et envoutante, la femme sensuelle et sexuelle est une ode à la féminité.

Elle ondule son bassin avec volupté et grâce, se laissant traverser par le flux de la vie.

La femme sensuelle et sexuelle est libérée, libre avec son corps, son plaisir, son désir et ses fantasmes.

Elle vit en présence, à l’écoute de ses 5 sens et de son plaisir.  

La femme sensuelle et sexuelle a reconnecté à sa nature extatique. Sa réceptivité lui permet de jouir de chaque instant de la vie dans une joie profonde.

Elle n’a pas ou peu de tabou car elle est curieuse et adore faire de nouvelles expériences.

Elle exprime son désir sexuel et charnel sans aucune gêne.

Elle assume sa puissance sexuelle qu’elle incarne pleinement.

La femme sensuelle et sexuelle est souvent une séductrice qui aime plaire et jouer avec le feu du désir.

Il lui arrive de manipuler en usant de ses charmes pour obtenir des faveurs.

Elle est parfois perçu comme une tentatrice, une provocatrice et peut susciter la méfiance ou la  jalousie des autres femmes.

Cette part nous permet de lâcher le mental et de rester présentes à notre corps et à nos sensations, de dédramatiser la vie, d’apporter de la joie et de la légèreté et de nous reconnecter à notre puissance de femme. 

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La femme sauvage incarne la liberté d’être.

Rien ni personne ne lui dictera sa loi. Elle est libre et indomptable.

La femme sauvage est connectée à Terre mère et à tous les éléments.

Elle vit en parfait harmonie avec la nature. Elle respecte la vie sous toutes ses formes. 

La femme sauvage vit au rythme des cycles de la vie : son cycle interne, le cycle lunaire, le cycle des saisons et le cycle mort/naissance.

Elle sait ce qui bon pour elle car elle fusionne avec sa nature animale et se fit à son instinct.

Elle est pleine de vitalité, de fougue et de passion.

La femme sauvage exulte ! Elle danse, chante, crie, hurle… Elle laisse l’énergie de vie la traverser.

Elle jouit pleinement de son corps par ses 5 sens physiques ultra déployés.

La femme sauvage aime être nue dans la nature. Le simple contact de l’eau, du vent, du soleil et de la terre sur l’entièreté de son corps la plonge dans une douce extase.  

Elle est puissamment érotique et magnétique.

La femme sauvage est souvent mal vue dans nos sociétés car elle est tout sauf conformiste, sa nature brute dérange.

Elle peut d’ailleurs parfois avoir du mal à vivre en société car elle ne supporte ni l’hypocrisie ni les faux semblants.

Aussi, elle peut avoir plutôt tendance à s’isoler au calme dans la campagne loin de l’agitation de la foule.

La femme sauvage nous aide à quitter nos masques pour retrouver notre essence brute, ouvrir nos sens et écouter notre corps.

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Bien ancrée à la terre, la guerrière part combattre déterminée à défendre et à protéger ceux ou ce qui est important à ses yeux.

La guerrière fait preuve de beaucoup de courage et de dépassement de soi.

Elle ira jusqu’au bout du combat coûte que coûte et ne lâchera rien si la cause qu’elle défend lui semble juste.

Sa soif de justice peut l’emmener à s’épuiser à lutter sans cesse contre quelque chose.

Si la guerrière peut être un parfait leader capable de fédérer pour sa cause, il lui arrive parfois de se sentir seule dans le combat qu’elle mène. 

Aussi, sans même s’en apercevoir la guerrière peut s’endurcir au point de devenir violente, notamment dans sa manière d’imposer son point de vue ou d’obliger les autres à agir comme elle le souhaite.

La guerrière est une part de nous qui sollicite notre masculin intérieur. Elle se manifeste en nous quand nous devons faire face aux difficultés de la vie, protéger nos intérêts, nos proches, nos valeurs.

Mais quand nous considérons que la vie est un combat, elle se manifestera au quotidien.

Nous portons toutes cette part en nous, qu’elle soit quasi invisible ou omniprésente, elle existe bel et bien.

Il s’agit là de la voir, de la reconnaitre et de faire la paix avec elle. D’embrasser cette part avec sa lumière et son ombre.

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L’amour et l’accueil sont des qualités généralement attribuées au féminin et plus précisément à l’archétype de la mère.

Que nous ayons ou non des enfants, nous portons toutes en nous cette vibration de la mère.

La mère est celle qui aime et accueille son enfant (ou tout autre être d’ailleurs) pour ce qu’il est et non pour ce qu’il fait.

La mère est celle qui prend soin.

Elle est tendre, douce et généreuse (don inconditionnel).

Elle contient et rassure par sa présence, son toucher, son amour.

La mère est à l’écoute et est remplie de compassion.

On oublie bien souvent que la mère est aussi cette part en nous qui peut accueillir tout ce que nous sommes sans jugement et avec un amour inconditionnel.

Notre mère intérieure qui ouvre ses bras pour nous accueillir en toute circonstance.

Parfois, lorsque nous nous jugeons et que nous sommes exigeantes avec nous-même nous avons du mal à ressentir cette mère en nous.

Nous savons bien souvent la solliciter pour les autres mais beaucoup moins quand il s’agit de nous-même.

C’est ainsi que le temps et l’énergie consacrés dans le prendre soin des autres peut parfois être excessif au point d’en arriver à se sacrifier et à en oublier notre propre vie.

Or, la mère prend soin de la vie en elle et autour d’elle.

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En chacune de nous continue de vivre cette enfant joyeuse, joueuse et spontanée.

Cette part innocente qui s’émerveille de tout et d’un rien. Et qui tout à coup, stoppe son activité pour suivre un papillon qui vient de passer sous ses yeux.

Cette part qui a l’art du détachement et de l’instant présent.

Pour elle Tout est possible et le monde imaginaire ne se distingue pas du monde réel. Elle vit au milieu des arcs en ciel, des fées et des licornes.

La magie est omniprésente dans son monde.

La femme enfant déborde d’énergie et de malice. Elle danse, saute et rit.

Elle est aussi hyper sensible et perçoit tout ce qui se passe dans le subtil.

Elle est de nature empathique et aime de manière pure et innocente.

Elle ne se soucis pas du regard des autres et vit au grès de ses ressentis.

Pour elle la vie est un jeu. Elle adore s’amuser et rire des adultes trop sérieux qui ont perdu leur folie et leur joie de vivre. 

La femme enfant est idéaliste et peut être en décalage avec la  réalité matérielle terrestre, ce qui peut engendrer de la souffrance.

Elle a parfois du mal à s’incarner sur Terre et rêve d’un autre monde.

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A toi chère femme, toi qui offre sans compter, toi qui n’a pas le temps de prendre soin de ton corps, toi qui cours partout, penses trop et ne respires pas assez.
L’occasion t’es donnée de pouvoir te poser et te déposer. Prendre le temps de respirer, sentir, ressentir, te lover dans ta féminité. Laisser ton corps se nourrir d’un toucher exclusivement féminin, doux et sensuel, enveloppant et guérisseur, éveillant tes sens endormis pour t’emmener dans un voyage intérieur aux suaves odeurs et aux exquises saveurs.
A travers l’éveil de tes sens, viens reconnecter ta femme sensuelle et extatique, viens renouer avec la puissance de ton bassin et la radiance de ton cœur.
Avec bienveillance, sororité, présence et amour, Laetitia et Séverine seront à l’écoute de ton corps afin de lui offrir un toucher réparateur et nourrissant.

En cette période où nous sommes bousculés, où nous perdons nos repères et nos croyances, où nous recherchons le sens de notre vie, le retour au corps est plus que jamais essentiel afin de ne pas nous laisser happer par le tumulte extérieur et revenir à soi.
Le corps est souvent délaissé au profit du mental, considéré à tort comme plus noble. Il est pourtant le seul à nous permettre de rester présent à chaque instant et de nous ouvrir à nos perceptions subtiles.
Si le mental avec nos innombrables pensées nous coupe de nous-même et de notre environnement, notre corps par le biais de nos sens nous ramène à notre intériorité et nous relie à la Terre et à tout ce qui la constitue.
Cette reliance entre notre terre intérieure (notre corps) et la Terre (extérieure), grâce à nos sens, donne tout son sens à notre vie et nous apporte extase et joie profonde.
Nous vous proposons une journée entre femmes consacrée à l’exploration de nos sens dans toutes leurs dimensions.
Une expérience sensitive et sensuelle pour plonger dans l’intimité de notre corporalité.
Un temps pour déposer notre mental et honorer notre corps, source de joie et d’extase.